samedi 31 décembre 2011

The Year Is Almost Over!

The Year Is Almost Over!
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En attendant minuit...
Je vous souhaite de la joie, de la bonne humeur
de la légèreté et des bulles dans vos verres... 
Merveilleux réveillon de la Saint Sylvestre à tous!

vendredi 30 décembre 2011

Ladurée: Coffret L'Art de recevoir

Ladurée
L'Art de recevoir

Vincent Lemains et Michel Lerouet, respectivement chef pâtissier et chef des cuisines de Ladurée, nous dévoilent tous les secrets de l'art de recevoir de leur prestigieuse maison. Du petit déjeuner au dîner de gala en passant par le pique-nique chic, le déjeuner de famille, le dîner en amoureux... Toutes les occasions de se réunir en 10 petits livrets où sont proposés menus et conseils d'art de la table. En prime, un carnet d'adresses L'Art de recevoir signé Ladurée. Chêne

Buffet dînatoire

Merci Françoise d'avoir déposé ce magnifique coffret sous mon sapin!

La Chapelle Sixtine sous surveillance

Michel Ange, La Création d'Adam
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La Chapelle Sixtine est depuis l'été sous étroite surveillance scientifique pour détecter avec précision tout ce qui, dans l'atmophère, est susceptible de dégrader ses fresques, a révélé jeudi le directeur des Musées du Vatican.
Dans le quotidien du Vatican L'Osservatore Romano, Antonio Paolucci décrit la présence discrète de 36 détecteurs dans des tubes noirs "un peu inquiétants" suspendus dans la chapelle, et de 14 autres fixés à différents endroits.
La fameuse chapelle, où se tiennent les conclaves chargés d'élire les papes, est visitée chaque année par 4 millions de visiteurs.
Cet examen a pour objectif de moderniser son système de conditionnement afin de mieux protéger les fresques de Michel-Ange, de Botticelli, du Pérugin et de Ghirlandaio, a-t-il expliqué.
A l'été 2010 avait été détectée la présence de quantités élevées de particules sur les murs, susceptibles de provoquer des réactions chimiques indésirables sur les fresques.
Selon M. Paolucci, les particules détectées ont un rapport avec le fonctionnement du système de climatisation et d'épuration de l'air que la société Carrier avait installé avec succès après la restauration du Jugement dernier en 1993. Suite de l'article: Le Point

jeudi 29 décembre 2011

Mais je suis belle d'être aimée, Cécile Sauvage

James Abbott McNeill Whistler, Symphony in White. The Young White Girl
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Mais je suis belle d'être aimée,
Vous m'avez donné la beauté,
Jamais ma robe parfumée
Sur la feuille ainsi n'a chanté,
Jamais mon pas n'eut cette grâce
Et mes yeux ces tendres moiteurs
Qui laissent les hommes rêveurs
Et les fleurs même, quand je passe.

Cécile Sauvage 

mercredi 28 décembre 2011

Ernest Bieler - Réalité rêvée

Ernest Biéler (1863-1948), Die Geheimnisvolle
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du 1er décembre 2011 au 26 février 2012

Ernest Biéler est né à Rolle en 1863 au sein d’une famille nombreuse et bourgeoise. Il passe son enfance à Lausanne et en 1880 décide de partir se former à Paris où il fréquente l’Académie Julian. Tout en effectuant des séjours en Suisse et notamment en Valais où le peintre Raphael Ritz avait attiré l’attention du jeune artiste sur la commune de Savièse, Biéler essaie de faire carrière à Paris. Il expose au Salon mais l’accueil réservé par le public français n’est pas à la hauteur de ses espérances et en 1892 à court de moyens financiers il retourne en Suisse. Même s’il séjournera encore dans la capitale française, parfois de longues périodes, c’est en Suisse qu’il obtiendra des commandes comme celle en 1893 du décor du plafond du Victoria Hall de Genève. Son style est alors encore fortement marqué par l’art nouveau hérité de sa formation parisienne. Toujours sous l’influence des grands courants internationaux, il exécute ensuite d’imposantes compositions symbolistes comme Les Feuilles mortes (1899). Il s’agit d’un tableau au format allongé et monumental, à la composition à la fois dynamique et symétrique évoquant l’automne avec une mélancolie poétique. En référence à la saison, le coloris chaud s’accompagne de nuances déclinées du jaune au brun. Les feuilles sont assimilées à des personnages féminins où se mêlent réalité et allégorie. Exposées au Salon de Paris en 1899, Les Feuilles mortes font sensation et les critiques se révèlent élogieuses. Il les présentera de nouveau à l’exposition universelle en 1900 en compagnie des Sources (1900), autre œuvre symboliste. A partir de cette date l’artiste séjourne de plus en plus fréquemment à Savièse où il se fait construire un atelier. Son installation en Valais correspond à un moment particulier de l’histoire de l’art. Dans toute l’Europe, l’industrialisation du XIXe siècle s’accompagne de profonds changements. A cette époque, les artistes prennent conscience des conséquences négatives du passage de la société agraire à la société industrielle et développent une réflexion privilégiant valeurs oubliées et harmonie entre l’homme et la nature. Ils projettent leurs idéaux vers des contrées rurales encore intactes où ils se réfugient. En Suisse, les artistes se retirent dans les Alpes : Giovanni Segantini et Giovanni Giacometti dans l’Engadine, Ernest Biéler, Edmond Bille, Edouard Vallet ou encore Charles-Clos Olsommer en Valais. Au contact des habitants de Savièse et de sa région, les sources d’inspiration et le style de Biéler évoluent. Les œuvres deviennent moins intellectuelles, directement inspirées de la vie quotidienne des villageois. Son style se modifie en conséquence, il se fait moins délicat, plus réaliste ce qui poussera la critique à comparer son tableau Les Vieux à l’enterrement (1901) à celui de l’ Enterrement à Ornans de Gustave Courbet. Pourtant l’artiste semble conscient que sa voie est ailleurs et vers 1905/1906, il se dirige vers un style plus raffiné, extrêmement graphique qui contribuera à son succès. Il exécute alors à l’aquarelle une série de portraits au dessin « d’une vigueur telle, d’une si robuste netteté qu’on les prendrait pour des gravures sur bois en couleur » . Ce nouveau genre trouve des amateurs, les musées et les particuliers se portent acquéreurs. Encouragé par son succès, l’artiste participe à de nombreuses expositions et ressent le besoin de donner à ses œuvres une dimension plus monumentale. Il exécute alors des tableaux de plus grand format, comme Deux jeunes Saviésannes tissant (1923). Cette reconnaissance au niveau de la peinture de chevalet s’accompagne d’une reconnaissance officielle : entre 1914 et 1922, l’artiste obtient des commandes pour la réalisation de trois fresques : celles de la chapelle de Tell à Lausanne, celles du vestibule du musée Jenisch à Vevey et celle du tympan de l’Hôtel de ville du Locle. Une comparaison entre ces fresques réalisées en l’espace de neuf ans montre que Biéler n’a cessé d’évoluer vers un style de plus en plus décoratif. C’est d’ailleurs sans doute cette technique de la fresque qui fera de nouveau évoluer le style de l’artiste vers une manière plus synthétique qui accorde moins d’importance aux détails.

Les Feuilles mortes

Les Feuilles mortes (Détail)

Les Sources

Les Sources, (Détail)

Ramasseuse de feuilles

Le joyeux Mendiant

Tête décorative

Bruegel, Le moulin et la croix


Année 1564, alors que les Flandres subissent l’occupation brutale des Espagnols, Pieter Bruegel l’Ancien, achève son chef d’œuvre "Le Portement de la croix", où derrière la Passion du Christ, on peut lire la chronique tourmentée d’un pays en plein chaos. 
Le film plonge littéralement le spectateur dans le tableau et suit le parcours d’une douzaine de personnages au temps des guerres de religions. Leurs histoires s’entrelacent dans de vastes paysages peuplés de villageois et de cavaliers rouges. Parmi eux Bruegel lui-même, son ami le collectionneur Nicholas Jonghelinck et la Vierge Marie.
Inspiré par une étude du critique d'art Michael Gibson
Réalisation : Lech Majewski
Acteurs : Rutger Hauer, Charlotte Rampling, Michael York

mardi 27 décembre 2011

Olga Suvorova


Olga Suvorova (Born 1966, Leningrad, Russia), Annunciation

 Music

 Annunciation 

Golden Annunciation

Carnival

jeudi 22 décembre 2011

L'Agneau mystique

Les Anges chanteurs

La Vierge Marie

Polyptyque de l'adoration réalisé par les frères Van Eyck et achevé en 1432, L'Agneau mystique est conservé dans la cathédrale Saint-Bavon de Gand, en Belgique. Cette œuvre marque la naissance de la révolution artistique flamande et constitue un chef-d’œuvre de la peinture des primitifs flamands.
Commandé par Joost Vijdt, marguillier de l’église Saint-Jean de Gand (devenue depuis la cathédrale Saint-Bavon), le polyptyque est commencé par Hubert Van Eyck et terminé par Jan Van Eyck après la mort de son frère en 1426 et placé, le 6 mai 1432, sur l’autel de la chapelle du commanditaire, dans l’église Saint-Jean.
Le polyptyque, sans compter les cadres, mesure 3,75 × 2,60 m (en position fermée) et 3,75 × 5,20 m (ouvert) et est constitué de dix panneaux de bois de chêne. Il possède un programme iconographique complexe, s’appuyant pour une grande part sur le texte de l’Apocalypse selon saint Jean l’Évangéliste. Il traite de deux sujets bibliques distincts, selon que le retable soit ouvert ou fermé.

Herbert et Jean Van Eyck (Achevé en 1432), Polyptyque de l'Agneau Mystique

mercredi 21 décembre 2011

Sage comme une image...

Paul Beckert (1856-1922), A Little Girl and her dolls
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Sage comme une image...

Les trois Médinas - Tunis, Alger, Fès


Par son ampleur, par la richesse exceptionnelle de sa documentation photographique, réalisée par Alexandre Orloff, en mission pour l’Unesco, par l’autorité, le style souverain et enjoué de son auteur, Salah Stétié, voici le livre majeur sur les médinas.
Ces “villes” par excellence, bordées par le désert, furent de tout temps au cœur de la civilisation méditerranéenne. Les merveilles de l’architecture et du décor – mosquées, écoles coraniques (medersas), zaouïas consacrées à un saint, portes monumentales, coupoles, plafonds et fenêtres de bois polychrome –, se déploient en majesté, au rythme des doubles pages qui, pour un même sujet, alternent vues panoramiques et détails des entrelacs décoratifs à la vertigineuse complexité.
A l’instar de Chartres, de Reims ou de Versailles, voici, à Fès, la célèbre mosquée Al-Qaraouyîne, synthèse de tous les courants artistiques de l’art médiéval en Islam, qui fut la plus ancienne université d’Occident (avec sa bibliothèque de trente mille volumes et dix mille manuscrits) ; la suprême élégance des medersas Bou-Inania, el Azzarine, Sahrig aux fenêtres de bois sculpté… auxquelles répondent, à Tunis, les marbres des mosquées Ez-Zitouna et Hammouda Pacha ou de la medersa Suleymaniya à la coupole d’une finesse inégalée.
Les palais de la casbah d’Alger – celui du Raïs, aujourd’hui restauré, ceux du dey et du bey, zelliges, miroirs et stucs de Dar Hassan Pacha et Dar Bekri (musée des Arts et Traditions populaires) – rivalisent de luxuriance avec le splendide Dar Husseïn de Tunis (Institut d’art et d’architecture) ou, à Fès, le palais du Glaouï et le Dar Chergui et son riyad aux célèbres fontaines. La profusion des matériaux – marbre, céramique, stuc, verre, bois (à Fès spéciale-ment) – et les multiples influences stylistiques – italienne et turque à Tunis, andalouse à Alger et surtout à Fès, évitant toute monotonie, conduisent le lecteur de surprises en émerveillements sans cesse renouvelés. Alexandre Orloff & Salah Stétié. Actes Sud

Alexandre Orloff, Photographe américain, a réalisé sous les auspices de l’unesco, voici trois décennies, ces reportages qui constituent un document unique sur l’héritage culturel des médinas du Maghreb en leur dimension architecturale, artistique et humaine : héritage aujourd’hui compromis sous l’effet de la déshérence ou d’une modernisation aveugle. Pour ce travail exceptionnel, il a reçu le prix Kodak de la critique photographique.

Salah Stétié,  Grand poète de langue française et de langue arabe, ancien ambassadeur du Liban au Maroc, sait écouter le coeur des villes, au rythme du périssable et de l’éternel. Naguère délégué permanent du Liban à l’unesco, il prit une part active au sauvetage des monuments de Nubie : il préserve en ce livre la part la plus profonde, la plus secrète, de ces trois médinas, à l’infinie complexité, celle du rêve et de la vie. 

lundi 19 décembre 2011

L’Horlogerie à Genève, Musée Rath

Christ Moricand, Étui avec montre, vers 1790, serpentine, or repoussé et ciselé 
© Aeschiman Siza, Yersin, Sabato/MAH
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L’Horlogerie à Genève
Magie des métiers, trésors d’or et d’émail
du 15 décembre 2011 au 29 avril 2012
Faire (re)découvrir la richesse et la beauté des collections d’horlogerie, d’émaillerie et de bijouterie du Musée d’art et d’histoire, tel est l’objectif de cette exposition qui met en lumière plus de 1 000 œuvres du 16e siècle à nos jours. Elle présente notamment des pièces que le public peut admirer pour la première fois. Une occasion de pénétrer dans un monde de luxe où l’on découvre des trésors de perfection : montres, pendules, bijoux, mais aussi émaux et miniatures. Des œuvres monumentales comme des pièces minuscules. Ces chefs-d’œuvre où la beauté s’allie à la haute précision et à la technicité forcent l’admiration devant des savoir-faire uniques. La constitution des collections publiques genevoises étant intimement liée à l’activité industrielle et à la culture artistique genevoise, cette exposition entend également souligner le lien qui existe entre les œuvres et les métiers d’art.
La cage à oiseaux des frères Rochat, imaginée à Genève vers 1815 
© Aeschiman Siza, Yersin, Sabato/MAH

Montre croix créée par Zacharie Fonnereau à La Rochelle autour de 1620
© Aeschiman Siza, Yersin, Sabato/MAH

Obrigado Césaria...


jeudi 15 décembre 2011

Désir et peinture, Martine Lacas

Désir et peinture, Martine Lacas

 Qu'elles soient plaisantes, édifiantes, émouvantes, troublantes ou inquiétantes, qu'elles soient profanes ou religieuses, soixante-douze œuvres peintes entre le XVIe et le XIXe siècles sont ici observées de près pour tenter de découvrir comment et pourquoi la peinture à partir de la fin du XVe siècle, entretient manifestement un lien si étroit avec le désir, comment et pourquoi le désir devient un sujet, voire une structure, en peinture. Du désir et de son objet représentés au désir du spectateur sollicité et mis en scène par l’œuvre, du désir de l'artiste lui-même au désir de savoir ce qu'il en est du désir de peindre et du désir « tout simplement » : au gré de cette enquête qui puise également à des sources littéraires et philosophiques, c'est une histoire critique de l'art pictural qui progressivement se trace. Mais c'est aussi une histoire du spectateur, l'histoire possible d’un individu qui cherche à savoir pourquoi il est attiré par certaines œuvres et non par d’autres, pourquoi la mémoire plus exacte qu'il conserve de certaines d'entres elles se double du désir de les revoir, et cela même quand il les a déjà revues plusieurs fois. Une histoire d'amour et de désir pour la peinture. Seuil

Jean-Léon Gérôme, Pygmalion et Galatée, 1890

Le Titien, La Vénus d’Urbin, 1538

Le Caravage, Saint Jean-Baptiste Baptiste au bélier, vers 1600

Jean-Honoré Fragonard, Le verrou, vers 1784

La Belle époque de Massenet (1842-1912)

La Belle époque de Massenet (1842-1912)
du 14 décembre 2011 au 15 avril 2012
Bibliothèque-Musée de l'Opéra
Place de l’Opéra, Paris 9ème

À l’occasion du centenaire de la mort de Jules Massenet, de la nouvelle production à l’Opéra Bastille de Manon et de la reprise de L’Histoire de Manon au Palais Garnier, la Bibliothèque nationale de France et l’Opéra national de Paris consacrent une exposition dans les espaces de la Bibliothèque-musée de l’Opéra au compositeur phare de la Belle époque.

De la création du Roi de Lahore au Palais Garnier en 1877 jusqu’à sa mort en 1912, Massenet a dominé la vie lyrique française. Sa carrière de compositeur est marquée par de grands succès, comme Manon et Werther, ou Le Cid, Thaïs et Grisélidis, tous trois présentés à l’Opéra de Paris. Il convient d’y ajouter, entre autres merveilles, Cendrillon, Le Jongleur de Notre-Dame ou Chérubin. Massenet aimait les chanteuses. Il a fréquenté les plus talentueuses et les plus belles artistes de son temps : Sybil Sanderson, Rose Caron, Lucienne Bréval, Marie Heilbron, Lucy Arbell. En cette fin du XIXe siècle, sur les scènes lyriques du monde entier, il a incarné l’élégance et la sensualité françaises. Il fut également une autorité musicale et un professeur recherché et aimé : Gustave Charpentier, Reynaldo Hahn, George Enescu, Ernest Chausson ou Gabriel Pierné furent ses élèves. Même Claude Debussy, qui ne le fut pas, ne cachait pas son admiration pour le compositeur. À travers cette exposition, l’Opéra national de Paris et la Bibliothèque nationale de France s’associent pour célébrer le centenaire de la mort du grand maître.

mardi 13 décembre 2011

Cette lumière peut-elle, Rainer Maria Rilke

Howard Pyle (1853-1911) , Why Seek Ye the Living in the Place of the Dead
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Cette lumière peut-elle
tout un monde nous rendre ?
Est-ce plutôt la nouvelle
ombre, tremblante et tendre,
qui nous rattache à lui ?
Elle qui tant nous ressemble
et qui tourne et tremble
autour d'un étrange appui.
Ombres des feuilles frêles,
sur le chemin et le pré,
geste soudain familier
qui nous adopte et nous mêle
à la trop neuve clarté.

Rainer Maria Rilke

dimanche 11 décembre 2011

samedi 10 décembre 2011

Bon week-end !

Georges Lepape (1887-1971), Vogue Magazine, Décembre 1929
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Je vous souhaite un excellent week-end!

jeudi 8 décembre 2011

Une poupée pour Noël

Friedrich von Amerling (1803-1887)  Portrait de la Princesse Marie
Franziska von Liechtenstein à l'âge de 2 ans
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Jean-Étienne Liotard (1702-1789), Girl with doll
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John Singer Sargent (1856-1925), Ruth Sears Bacon
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Emile Munier (1840-1895), Girl with Doll and Dog
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Lord Frederic Leighton (1830-1896), Lady Sybil Primrose
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John Everett Millais (1829-1896), Girl with a Dol
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Fritz Zuber-Buhler (1822-1896), Young Girl Holding a Doll
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Hébert Ernest Antoine Auguste (1817-1908), Catherine du Bouchage enfant
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Thomas Benjamin Kennington (1856-1916), Girl with doll
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John Singer Sargent (1856-1925), Marian Madge Roller
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Carl Larsson (1853-1919), Jeune fille à la poupée
*
Berthe Morisot (1841-1895), Perite fille avec une poupée
*
Lionel Noël Royer (1852–1926), Young Girl with a doll
*
Etienne Dinet (1861-1930), Petite fille à la poupée
*
Odilon Redon (1840-1916), Portrait de Simone Fayet à la poupée
*
Emile Munier (1840-1895), Amies
*
Fritz Zuber-Buhler (1822-1896),  Girl feeding her dolly
*
Fülöp Elek László (1869-1937), Double Portrait of Erzsébet and Stefanie
*
Alphonse Mucha (1860-1939), Jaroslava and Jiri - The Artist's Children
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Follower of William Larkin (1580-1619), Three Young Girls
«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard