lundi 31 décembre 2012

Un merveilleux et joyeux réveillon à tous !

The Year Is Almost Over!
Non, non, je ne vous oublie pas!
Je suis débordée, tout simplement débordée...
Laissez-moi donc le temps de finir de dresser ma table, 
de mettre quelques bouteilles au frais et de sortir mon gâteau du four...
Et je promets de venir avant minuit lever mon verre pour trinquer à votre santé!
En attendant, je vous souhaite un merveilleux et joyeux réveillon de la Saint-Sylvestre!

lundi 24 décembre 2012

Joyeux Noël !

La dernière bougie, Fix Philippe 32 Grande Rue, 60590 Lalande-en-Son. (C) MuCEM, Dist. RMN-Grand Palais / Danièle Adam
Je vous souhaite un Joyeux Noël !
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mercredi 12 décembre 2012

Rouge, vert et or

Pascal Adolphe Jean Dagnan-Bouveret (1852-1929), Chimères

« Le merveilleux est toujours beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau. » 
André Breton

Les Arts de l’effervescence. Champagne !

D’après un dessin de Thomas Couture (1815-1879), Les Prodigues Papier peint, impression à la planche sur papier continu 
213,5 x 258 cm. Inv. 998 PP 24-49. Rixheim, Musée du Papier Peint © D. Giannelli, Musée du Papier Peint, Rixheim
Les Arts de l’effervescence. Champagne !
du 14 décembre 2012 au 26 mai 2013

  « Cette exposition dédiée aux rapports entre le champagne et les arts aura une large ampleur chronologique : de l’apparition du vin pétillant de Champagne, à la fin du XVIIe siècle jusqu’au XXe siècle. Elle portera principalement sur la seconde moitié du XIXe siècle et sur la première moitié du XXe siècle, avec toutefois quelques clins d’œil vers l’art contemporain et le design.
  Pour mettre en lumière la dimension mythique du champagne - un fait culturel exceptionnel - cette exposition fera appel à des œuvres de techniques diverses telles que peintures, dessins, gravures, affiches, sculptures, maquettes et dessins d’architecture, objets d’arts décoratifs (verrerie, orfèvrerie, éventails, papiers peints). Elle évoquera également la musique et le cinéma. » 

Veliart, Jeune fille à la coupe de champagne Pastel sur toile - 60,7 x 46 cm - Inv. 941.3.167 
Reims, musée des Beaux-arts - Tous droits réservés - © Christian Devleeschauwer

Leonetto Cappiello (1875-1942), Maquette d’affiche Gouache et traits de fusainsur papier
Collection particulière © Adagp, Paris 2012 © photographie: Christian Devleeschauwer

Philippe Mercier (1689 ou 1691-1760), Le goût. New Haven (Etats-Unis), Yale Center for British Art, 
Collection Paul Mellon © Yale Center for British Art, Paul Mellon Collection

L’art des Salons, Le triomphe de la peinture du XIXe siècle


  On connaît davantage aujourd’hui les Salons de Paris des années 1850-1860 pour les tableaux qui y ont été refusés que pour ceux que l’on pouvait y voir. Ces peintures ont souvent été méprisées pour ce que l’on considérait comme de l’académisme et de la rigueur excessive.
  Pourtant, les œuvres qui furent alors rejetées correspondent aux critères de l’art d’aujourd’hui et sont maintenant considérées comme les précurseurs de l’âge moderne.
  Cet ouvrage tente d’imposer la face relativement moins connue de l’histoire de l’art du XIXe siècle. L’historien de l’art Norbert Wolf se penche sur l’histoire des Salons pour faire redécouvrir aux lecteurs l’art et l’excellence qui y régnaient, en Europe, en Grande-Bretagne, en Russie et aux États-Unis.
   Dans ce nouveau livre magnifique, illustré par des reproductions superbes des chefs-d’œuvre de Cabanel, Manet, Gérôme, Ingres, Bouguereau, Leighton, Whistler, Tissot, Alma-Tadema, Sargent, pour n’en citer que quelques-uns, l’auteur analyse le phénomène des Salons sous bien des angles, que ce soit l’essor de la bourgeoisie ou le rayonnement de Paris, alors capitale européenne de la culture. Il explore également les styles et les thèmes qui dominaient : la peinture d’histoire, les portraits d’intérieur et de société ; il signale l’essor de l’Orientalisme et le nationalisme qui s’empare des paysages.
  La lecture de cet ouvrage d’envergure, très documenté et passionnant, permettra à l’amateur d’art d’appréhender définitivement et positivement la peinture des Salons et de comprendre la raison pour laquelle ces œuvres furent autrefois si vénérées par le grand public.

  Norbert Wolf, historien d’art se passionnant pour des sujets très variés, a écrit de nombreux ouvrages, dont Dürer, publié chez Citadelles & Mazenod.

samedi 8 décembre 2012

vendredi 7 décembre 2012

La Muse d'Edward Hopper

Edward Hopper (1882-1967), Morning Sun, 1952. Crédits photo : © Columbus Museum of Art, Ohio


La Muse, un film de Sophie Barthes 
d'après Nighthawks (1942) d’Edward Hopper.
Pour voir tous les courts métrages de la série: Hopper vu par...

mercredi 5 décembre 2012

Noël en Alsace...

Colmar en habit de lumière

Monde merveilleux de Noël

Corot à la Kunsthalle de Karlsruhe

La crèche, cathédrale de Strasbourg

Petite escapade de quelques jours en Alsace pour profiter des marchés de Noël, 
mais aussi et surtout pour visiter l’exceptionnelle exposition Corot à  Karlsruhe en Allemagne. 
Exposition Camille Corot

samedi 17 novembre 2012

Beautés de Marrakech, Lucien Levy-Dhurmer

Lucien Levy-Dhurmer  (1865-1953), Jeune Fille de Marrakech

Portrait d’une berbère marocaine

La Jeune Orientale

Filles de Marrakech

Promenade du soir

Bautés de Marrakech

Un chemin d'enfance, Marie Alloy

Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), Environs d'Arras - Chaumière au bord d'une route 
Arras, musée des Beaux-Arts, Photo RMN

Quatrième de couverture
MARIE ALLOY
  Née en 1951 dans le Pas-de-Calais, Marie Alloy est peintre et graveur. En 1993, elle crée les éditions Le Silence qui roule où ses estampes accompagnent des poètes d’aujourd’hui. Elle écrit aussi sur la peinture pour en approfondir la pensée.

UN CHEMIN D’ENFANCE
  Marie Alloy nous conduit sur la lumineuse Route près d’Arras peinte par Camille Corot et exposée au musée des Beaux-Arts d’Arras. Elle y croise ses propres souvenirs d’enfance où paysage et peinture se sont très tôt liés, où poésie et contemplation de la nature ne font qu’un. Elle nous donne à voir et ressentir le tableau comme un lieu réel, un lieu d’accueil, dans la bonté qui irrigue le regard de Corot. Elle explore le lieu ouvert par la toile avec finesse d’attention et d’écoute, dans une écriture sensible aux gris, aux nuances de terres et d’ors, aux transparences du ciel. Et si « la route témoigne d’une humanité qui se prolonge en nous », elle nous invite à partager sa lumière. Nous pouvons prendre ici le temps d’un profond regard, comme dans une marche qui serait lecture silencieuse en nous-même, le passé et le présent, le monde visible et le monde intérieur, pour un temps accordés par la peinture.

Extrait
  Pour l’artiste, les lieux les plus communs restent à découvrir. C’est toujours la première fois pour le regard à l’affût du moment, de la vision. Cet instant unique de lumière, la peinture pourra peut-être le sauver, et Corot l’offre au monde, pour remercier. De chaque paysage d’élection, il fait un poème et ce qu’il peint est l’humanité de son regard qui est sa manière d’habiter le lieu.
  Un Route près d’Arras, ou d’ailleurs ? Ce lieu n’existe-t-il qu’en peinture ?  On croit reconnaître ces arbres à la lisière, ce porche de ferme, l’alignement des saules, la courbe de la route. Certains disent qu’il s’agirait d’une vue d’Etrun, près d’Arras, peut-être réinventée en partie, mais quelle importance ?  Ce paysage de campagne, saisi dans son évidence familière, rugueuse et humble, simplement traversé par une route, est tel que l’a vu Corot, depuis ce seul endroit singulier, cet unique point de vue, à cette heure précise de l’après-midi.
  Entre sa vision picturale et le réel, Corot glisse une présence feutrée, comme une nature seconde qui ferait corps avec le monde. Il retrouve le passé en ses sensations enfouies, en peint la substance. Il accueille la densité du temps, la laisse s’interposer entre le lieu de son regard, comme s’il fallait d’abord ressentir le paysage en son âme pour le voir avec justesse. Il en découle une mélancolie, une sorte de patine qu’il confie aux gris et à l’or de la lumière.
Editions invenit

lundi 12 novembre 2012

Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres, Musée Marmottan

Cornelis Schut (Anvers, 1597 – Anvers, 1655), Suzanne et les vieillards Huile sur toile, 118,7 x 107,5 cm 
Acheté en 2008 au marchand d’art Jacques Leegenhoek, Paris
Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres
du 20 septembre 2012 au 3 février 2013

  Dans le cadre d'un accord de partenariat exceptionnel entre le musée Marmottan Monet et les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, le musée Marmottan Monet présente du 20 septembre 2012 au 3 février 2013 l'exposition Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres. Peintures baroques flamandes aux Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique.

  L'exposition propose une sélection de quarante-et-un tableaux des anciens Pays-Bas méridionaux du « Siècle d'Or » qui regroupe tous les grands genres, de la peinture d'histoire à la nature morte, en passant par le portrait, la scène de genre et le paysage dans lesquels les artistes du Nord excellaient.
Certains sont des acquisitions récentes ou font le voyage à Paris pour la première fois.

  Parmi les pièces maîtresses, Les Miracles de Saint Benoît de Rubens, tableau entièrement autographe au caractère inachevé, met à nu la virtuosité de l'artiste. L'exposition comprend également le truculent Le Roi boit de Jacques Jordaens, ainsi qu'un imposant Portrait de femme du même maître – qui rappelle à bon escient qu'il n'était pas qu'un peintre de scènes truculentes –, confronté à deux portraits d'Antoine van Dyck, dont l'un de ses chefs-d'oeuvre, Le Portrait du Père Jean Charles della Faille. Le paysage, la scène de genre et la nature morte sont, quant à eux, représentés par les maîtres qui contribuèrent le plus à leur succès, au premier rang desquels Paul Bril, Lucas van Uden, David Teniers le Jeune, Frans De Momper, Jan Fyt et Abraham Brueghel.
L'exposition fait aussi la part belle à des tableaux de maîtres moins connus, mais qui bénéficièrent à leur époque d'une grande renommée, tels que Cornelis Schut, Gérard de Lairesse, Jacob van Oost l'Ancien, Jan Siberechts, Gillis van Tilborch ou David Ryckaert. Elle présente enfin le Silène ivre et endormi attaché par la nymphe Eglé et des putti, dernière acquisition de la section peinture ancienne des Musées royaux et dont l'auteur, le peintre d'origine bruxelloise Karel Philips Spierinck, fut l'un des tout premiers émules de Nicolas Poussin.

  En accueillant quelques uns des plus beaux chefs-d’œuvre de la peinture baroque flamande, le musée Marmottan Monet rend ainsi accessible un patrimoine unique issu des collections des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique qui ont su, au fil du temps, se constituer une collection d'art de ses régions hors du commun, qui compte aujourd'hui parmi les plus importantes d'Europe.

  Cette exposition inaugure un accord de partenariat exceptionnel entre le musée Marmottan Monet et les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, visant à valoriser leurs collections réciproques au travers d'expositions temporaires qui éclairent à chaque fois un aspect particulier de celles-ci.
Elle sera suivie par Claude Monet et le japonisme qui se tiendra à Bruxelles puis à Paris (2014 et 2015).

Gillis van Tilborch (Anvers?, vers 1625 – Bruxelles, vers 1678), Fête villageoise 
Huile sur toile, 117,5 x 178,5 cm Acquis de la galerie Arthur De Heuvel, Bruxelles, 1961

Antoine van Dyck (Anvers, 1599 – Londres, 1641), Portrait du père Jean Charles della Faille, S.J.
 (1597-1652) Huile sur toile, 130,8 x 118,5 cm Don du comte Georges della Faille de Leverghem, Bruxelles, 1942

Pierre Paul Rubens (Siegen, 1577 – Anvers, 1640), Les Miracles de Saint Benoît Huile sur toile, 
164 x 262 cm Acheté par le gouvernement belge aux héritiers du roi Léopold II, Bruxelles, 1914

Abraham Brueghel (Anvers, 1631 – Naples, 1697), Fleurs et fruits Huile sur toile,
127 x 177 cm Acquis de la galerie Léger, Bruxelles, 1951

Paul Bril (Bréda ou Anvers, 1553/1554 – Rome, 1626), Le Port Huile sur toile,
105 x 150 cm Acquis de M. J. Schretlen, Westerveld, 1932

Adriaen van Utrecht (Anvers, 1599 – Anvers, 1652), Nature morte au perroquet Huile sur toile, 
117 x 154 cm Acquis dans une vente, Bruxelles, galerie Georges Giroux, 5 mars 1928

David Teniers le Jeune (Anvers, 1610 – Bruxelles, 1690), L’Archiduc Léopold Guillaume dans sa galerie  
de peinture italienne Huile sur toile, 96 x 129 cm Collections du prince de Carignan; collections de lord Say; 
acquis du marchand d’art J. Nieuwenhuys, Bruxelles, 1873

David Teniers le Jeune (Anvers, 1610 – Bruxelles, 1690), Repos à l’ombre 
Huile sur toile, 119 x 190 cm Acquis du marchand d’art Charles Sedelmeyer, Paris, 1877

Jacques Jordaens (Anvers, 1593 – Anvers, 1678), Le roi boit 
Huile sur toile, 156 x 210 cm Acheté en 1900 à M. F. Grein, Londres

jeudi 8 novembre 2012

La perfection...

Edouard Verschaffelt (1874-1955) Beauté algérienne
« Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n’y a plus rien à ajouter, 
mais quand il n’y a plus rien à retrancher. »
Antoine de Saint Exupéry

mercredi 7 novembre 2012

L'Ombre d'un homme, Bénédicte des Mazery

« Là où des êtres humains sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l’homme sont violés. »

Quatrième de couverture
  Alfred Vigneux n'a jamais oublié Charlotte et lorsque, à l'occasion de la réfection de son immeuble, il exhume de la cave les documents paternels, son passé lui revient de plein fouet. Le vieillard solitaire, à l'existence jusqu'ici monotone et recluse, décide alors de réécrire l'histoire à sa façon.
  Adèle, son mari et leur jeune fils, Léo, se voient ainsi proposer un étrange échange: la jouissance d'un appartement dont le vieil homme est propriétaire contre sa présence à dîner, chaque soir. La famille, qui vit pauvrement, accepte et emménage dans l'immeuble. Très vite, cependant, le jeune Léo comprend qu'ils n'ont pas été choisis au hasard.

Un roman qui mêle la petite histoire à la grande, celle de ces hommes et de ces femmes secrètement placés dans des camps de travail en plein cœur de Paris, en 1943, et dont le sort reste souvent méconnu.

L'Ombre d'un homme est le quatrième roman de Bénédicte des Mazery

Extrait
  Sous la douleur, Alfred se mordit les lèvres. Durant quelques secondes, il tenta en vain de se libérer, mais la pression était si forte que, malgré lui, ses yeux s'embuèrent. Puis, dans son dos, un bruit léger, si léger qu'on aurait dit un soupir, le fit se retourner. Charlotte descendait l'escalier en silence, sa main blanche glissant lentement le long de la rampe jusqu'à la courbe de l'étage,  jusqu'à ce tournant où elle disparut sans bruit, comme engloutie.
  Son père le projeta dans l'appartement et claqua la porte derrière eux.

  Soixante-huit ans plus tard, le vieil homme se laisse alors aller à ce qu'il ne s'est jamais autorisé durant toutes ces années: il pleure. Sans retenue. Il pleure sur le souvenir de la silhouette légère glissant de marche en marche à la façon d'une apparition. Il pleure pour l'immense chagrin sous lequel les frêles épaules se sont affaissées devant lui. Il pleure enfin sur sa lâcheté et son abjecte soumission, réitérée d'année en année, toujours plus profonde.
  Ce jour-là, il avait vu Charlotte pour la dernière fois.

mardi 6 novembre 2012

Les rêves...

Léon François Comerre (1850-1916), Off to bed

 « Ceux qui rêvent éveillés ont connaissance de mille choses qui échappent à ceux 
qui ne rêvent qu'endormis. »  
Edgar Allan Poe, Histoires grotesques et sérieuses

Monet et Renoir côte à côte à la Grenouillère


Monet et Renoir côte à côte à la Grenouillère
Du 25 novembre 2012 au 30 juin 2013

  Ces deux peintres ont posé leurs chevalets côte à côte au cours de l’été 1869 dans l’île de la Grenouillère, donnant ainsi naissance à des toiles splendides, icônes de l’impressionnisme. Aucune n’est plus visible en France, mais ce paysage naturel d’eau et de lumière est intact.

  L’exposition du Musée montre comment les itinéraires de Renoir et Monet ont littéralement fusionné pendant cette courte période, jusqu'à la confusion des styles, puis ont à nouveau divergé selon le destin et la personnalité de chacun.

Claude Monet (1840-1926), La Grenouillère, 1869. The Metropolitan Museum of Art New York

Pierre-Auguste Renoir (1841-1919), La Grenouillère, 1869, The Nationalmuseum in Stockholm

lundi 5 novembre 2012

ARTCURIAL, Vente de Tableaux anciens et du 19e siècle, Sculptures du 19e siècle

Lot 45 - François Boucher (Paris 1703-1770), Sainte Famille. Cuivre 24,5 x 18,5 cm
Estimation : 200 000-300 000 €
Tableaux anciens et du 19e siècle, Sculptures du 19e siècle
Vente le 7 novembre 2012

Lot 8 - Ecole romaine vers 1625, Entourage de Simon Vouet, Portrait d`Artemisia  Gentileschi
Estimation: 20000  - 30000 €

Lot 14 - Giuseppe Bartolomeo Chiari Rome (?) 1654-1727), La Vierge Immaculée
Estimation: 10000  - 15000 €

Lot 25 - Ecole flamande (ou espagnole?) du XVIIIe siècle Suiveur d`Abraham Teniers, Les singes joueurs de cartes
Estimation: 20000  - 30000 €

Lot 55 - Baziray Actif en France au XVIIIe siècle, Portrait de jeune fille tenant une fleur
Estimation: 3000  - 4000 €

Lot 66 - Alexandre Cabanel (1823-1889), Portrait d`élégante dans un sofa
Estimation: 12000  - 15000 €

Lot 79 - Adrien Henri Tanoux  (1865-1923), Nu assis de profil dans un intérieur
Estimation: 3000  - 4000 €

Lot 88 - Jacques-Emile Blanche (1861-1942), Portrait de femme
Estimation: 12000  - 15000 €

Lot 85 - Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887), Jeune fille à la couronne de lierre
Estimation: 5000  - 7000 €
«Trois opérations : Voir, opération de l’œil. Observer, opération de l’esprit. Contempler, opération de l’âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernard